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La signification en tant que structure.



Под системой мы понимаем совокупность взаимозависимых, взаимообусловленных единиц (алфавит). Под структурой мы понимаем форму связи между элементами.

0 голова, - башка, + головушка.

Слова: голова, башка, головушка, fragile, frele, feconde, fertille; летучая мышь, chauve sourie, flater maus. Идеальное содержание есть у всех слов. Понятийного содержания нет лишь у слов башка и головушка. Стилистическое содержание лишь у слова башка, эмотивное – у слова головушка. Лингвострановедческое содержание у последних трех слов означающих летучую мышь.

Сигнификат – это собственное значение слова. Contenu ideal – идеальное содержание.

Понятийный признак – абстракция, которая не несет никаких окрашиваний (la porcelainе est fragile – фарфор хрупок. La Roseau est frele – розовый куст хрупок.)

Feconde – плодородная, но необработанная земля.

Fertille – земля, обработанная человеком.

Il est evident, que la signification du mot n’est pas l’objet ni la phenomene auquel elle s’assoie, ce n’est point une substance materielle, mais une contenu ideal. Il rest pourtant vrai que sans ces objets et phenomenes de la realite’ les significations des mots n’existeraient pas cette these est egalement valable pour les mots exprimant des notions reeles et irreelles.

Фердинанд де Соссюр ввел 2 термина: signifiant – означающее (Ф) и signifie’ – означаемое (З). Концепт – субъективное понятие.

Лексическое значение всегда выражено в корне (связано с некоторой группой слов), грамматическое значение связано с классом слов. Приставка и суффикс – лекс.и грамм.значения, корень – лексическое, окончание – грамматическое.

Notre pensee ne trouve sa realisation que dans la matiere sonore ou graphique. Sous forme de mot et de propositipn qui servent a rendre des norion et des jugements.

Le role de mot ne se borne pas a transposer la notion dans la forme verbale, mais a servir de mediateur actif et indispenseble dans la formation de la notion, pour son devenir.

Le mots participe lui-meme a la formation de la notion.

La notion peut etre rendre par les moyens de lynguistique differentes: par les mots, par les groupes de mots.

C’est pourtant le mot qui serv des mouens pour exprimer la notion.

La faculté d’exprimé de notion est une de characteristique fondamentalle, des mots et des leurs equivalents. Donc, le mot et la notion constituent une unité dialectique. Pourtant unité ne veut pas dire identité. De meme qu’il n’y a pas d’equivalance entre la pencee et la langue, il n’y a point d’identité entre le mot et la notion.

Un mot peut etre lié a plusieurs notions. Et invercement, la meme notion est parfait rendue par des mots different.

(Симметрия лингвистического знака – одно слово, одно значение. Ассиметрия лингвистического знака – одно слово, много значений: многозначность (общая сема), амонемия (нет общей семы). Сема – минимальный значимый элемент значения).

La linguistique traditionnelle considére la notion comme une generalization objective de phenomena de la realité qui s’opere dans notre cerveau. En effet la notion generalise. C’est a dire elle reflete les partiqularité essentieles d’un objet, ou d’un phenomene de la realité. C’est precisement cette proprieté de la notion que la linguiste ont en vu lorsqu’il dise que tout mots generalize. Il les notoire que l’enveloppe sonore ou la «graphie» du mot doit nécessairement avoir la valeur d’un digne arbitraire.

 

2. La formations des mots et son rôle dans l’enrichissement du vocabulaire: la préfixation.

La formation des mots est une source féconde de l'enrichissement du vocabulaire français. Tout comme l'évolution sémantique la formation des mots nouveaux sert à la communication de nos idées et de nos sentiments. Elle est aussi largement utilisée dans des buts expressifs, comme moyen stylistique.

Les procédés de formation des mots pourraient être répartis en quelques types: procédés morphologiques, phonético-morphologiques et phonétiques. Les premiers sont les suffixation et préfixation, la composition ; les seconds — les télescopages, l'abréviation ; le dernier — l'onomatopée; encore le redoublement et la déformation des mots.

Parmi les formations préfixales la première place revient aux ver­bes.

La préfixation des verbes.Parmi les préfixes verbaux les plus productifs il faut nommer -, dés-et r(e)- et la variante ré-. en- (em-) , a, mé- (mes-), contre-: contredire, trans-, ex-, in- (im-), sou-,

Les verbes préfixés sont généralement tirés de verbes, plus rarement de substantifs et d ' adj ectifs.

La préfixation des substantifs.Les formations préfixales sont beaucoup plus rares parmi les substantifs que les formations suffixales.

Les préfixes des substantifs les plus répandus sont ceux qui commu­niquent aux dérivés un sens opposé à celui du mot primitif : dé- (dés-), dis-, in- (im-, ir-, il-), mes-: désordre, désespoir, disproportion, inculture, incroyance, impuissance, irrespect.

Les préfixes les plus productifs de ce groupe sont : anti-qui signifie « dirigé contre » et non-qui confère aux dérivés un sens négatif : antifascisme, antivirus ; non-participation, non-spécialiste.

Le préfixe re-, ré-participe tout autant à la formation des substantifs que des verbes: réapprentissage, réexamen, reculturation.

Parmi les préfixes productifs viennent aussi se ranger co- qui rend l'idée de concomitance et de simultanéité : coexistence, coproduction ; auto-qui signifie « lui-même, par lui-même » : autodéfense, autoguidage; rétro-correspondant à « en arrière » : rétrovision; mono-« un seul »: monobloc, monorail ; bi-----« deux, deux fois » ; biréacteur ; tri-----«trois, trois fois» : triporteur, triplan ; quadri-----«quatre, quatre fois»: quadrimoteur;

poly— « plusieurs, nombreux »: polyculture.

Signalons à part les préfixes d'intensité super-, sur-, hyper-, ultra-, méga(Io): superproduction, supermagasin, surcocktail, hypermarché ;

La préfixation des adjectifs.

Tout comme pour les substantifs les préfixes des adjectifs les plus répandus et productifs sont ceux qui communiquent aux dérivés un sens opposé à celui du mot primitif : in-(et ses variantes), anti-, non-, a-.Les préfixes d'intensité, dont surtout archi-, sur-, extra-, hyper-, super-sont aussi fort productifs dans la formation des adjectifs. La productivité des autres préfixes paraît être plus restreinte.


 

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Section française, III-ème année (pour les traducteurs)

Examende lexicologie

1. Le sens étymologique du mot. Les mots motivés et immotivés.

2. La formations des mots et son rôle dams l'enrichissement du vocabulaire: la suffixation.

3. L'analyse contrastive lexicologique de l'extrait d'un texte français original et de sa traduction.

 

 

1. Le sens étymologique du mot. Les mots motivés et immotivés.

Le mot "l'étymologie" comprend deux racines grecques: «étymon» – «la vérité, la signification principale du mot» et «lógos» – «la notion, la doctrine». Ce terme appelle d'habitude 1) le paragraphe de la linguistique étudiant l'origine et l'histoire des mots séparés et les morphèmes; 2) l'origine et l'histoire des mots et les morphèmes.

L'étymologie comme le paragraphe de la linguistique moderne met devant elle-même les buts suivants:

- Définir, dans quelle langue et à quelle étape historique de son développement est apparu le mot analysé;

- Établir la motivation primaire du mot, pour quoi trouver le mot produisant, le modèle de formation des mots et le sens initial du mot;

- Éclaircir les voies et les raisons du changement de la sémantique primaire et la composition historique du mot des morphèmes.

Depuis longtemps les linguistes ont l’opi­nion selon la­quelle le mot, le « nom » appartient à l'objet qu'il désigne. Il est évident qu'il n'y a pas de lien organique entre le mot, son enveloppe sonore, sa structure phonique et l'objet qu'il désigne. Pourtant le-mot, son envelop­pe sonore, est historiquement déterminé dans chaque cas concret. Au moment de son apparition le mot ou son équivalent tend à être une carac­téristique de la chose qu'il désigne. On a appelé vinaigre l'acide fait avec du vin. tire-bouchon - une espèce de vis pour tirer le bouchon d'une bouteille. Un sous-marin est une sorte de navire qui navigue sous l'eau et un serre-tête - une coiffe ou un ruban qui retient les cheveux. Il en est de même pour les vocables existant déjà dans la langue, mais servant à de nouvelles dénominations.

La dénomination d'un objet est basée sur la mise en évidence d'une particularité quelconque d'un signe distinctif de cet objet.

Le sens premier, ou originaire, du mot est appelé sens étymologique. Ainsi, le sens étymologique du mot table est « planche » ; du mot linge < lat. lineus, adj. « de lin » ; du mot candeur < lat. condor - « blancheur éclatante ». Le sens primitif de travail < lat. pop. tripalium est « instrument de torture » ; dépenser < \at.pensare — « peser ».

Il est aisé de s'apercevoir d'après ces exemples que le sens étymologi­que des mots peut ne plus être senti à l'époque actuelle.

En liaison avec le sens étymologique des mots se trouve la question des mots motivés et immotivés sans qu'il y ait de parallélisme absolu entre ces deux phénomènes.

Nous assistons souvent à la confusion du sens étymologique d'un mot et de sa motivation. Toutefois le sens étymologique appartient à l'his­toire du mot, alors que la motivation en reflète l'aspect à une époque donnée.

Tous les mots d'une langue ont forcément un sens étymologique, explicite ou implicite, alors que beaucoup d'entre eux ne sont point mo­tivés. Tels sont chaise, table, sieste, fortune, manger, etc. Par contre, nous aurons des mots motivés dansjournaliste, couturière, alunir, por­te-clé, laisser-passer dont le sens réel émane du sens des éléments com­posants combinés d'après un modèle déterminé. La motivation de ces mots découle de leur structure formelle et elle est conforme à leur sens étymologique. Pour les mots à structure morphologique (formative) complexe on distin­gue la motivation directe et indirecte. On assiste à la motivation directe lorsque l'élément de base du mot motivé possède une existence indépendante. Dans le cas contraire il y aura motivation indirecte. Ainsi journaliste formé à partir de journal ou lèche-vitrine tiré de lécher et vitrine seront motivés directement. Par contre, oculiste et aqua­tique le seront indirectement du fait que ocul- et aqua- n'existent pas sous forme de mots indépendants.

Une grande partie des locutions toute faites sont le plus souvent moti­vées. La motivation phraséologique repose sur le rapport lexico-sémantique qui s'établit entre la locution et le groupement de mots libres correspondant. Citons en guise d'exemple la locution avoir la main ouver­te - « être généreux ».

Donc, la motivation est un phénomène intralinguistique qui repose sur .les associations formelles et sémantiques que le mot évoque. Toutefois la motivation phonétique ou naturelle est extralinguistique.

Il est à remarquer que la motivation d'un mot n'est pas absolue. Il est difficile de dire pourquoi coupe-gorge sert à nommer un lieu, un passage dangereux, fréquenté par des malfaiteurs et non point, par exemple, un instrument de supplice (cf. : coupe-légumes, coupe-papier, coupe-raci­nes). Il serait plus juste de dire que les mots sont relativement motivés. La relativité de la motivation peut indui­re en erreur au cas où la signification du mot n'est pas présente à l'esprit de l'usager.

En principe tout mot est motivé à l'origine. Avec le temps la forme interne des mots peut ne plus se faire sentir, ce qui conduite leur démo­tivation. Cet effacement du sens étymologique s'effectue lentement, au cours de longs siècles.

Le processus de démotivation peut aller plus loin et aboutir à la perte totale par un mot de son caractère motivé. Ce phénomène se produit lorsqu'un mot ou bien son sens se trouve isolé, séparé des unités ou des sens auxquels l'un ou l'autre était autrefois associé. Une personne friande est tout simplement gourmande ; ce n'est plus une personne qui brûle d'envie de faire quelque chose, comme il en était autrefois, d'autant plus que le verbe frier - « brûler d'envie » a disparu de l'usage. Tous ces mots ne sont point motivés à l'heure actuel­le. Il en est de même de la locution avoir maille à partir avec qn - « avoir un différend avec qn ».

Dans chaque langue on trouve des mots motivés et immotivés.

Des cas assez nombreux se présentent lorsque les mots expri­mant la même notion, mais appartenant à des langues différentes, ont la même forme interne. On dit en français le nez d'un navire, une chaîne de montagnes, la chenille d'un char de même qu'en russe нос корабля, цепь гор, гусеница танка. En français et en russe on dit pareillement roitelet et королек. Les mots perce-neige et подснежник ont une forme interne proche. Cette similitude de la forme interne de certains mots dans les langues différentes tient à des associations constantes qui apparais­sent également chez des peuples différents.

 

 

2. La formations des mots et son rôle dams l'enrichissement du vocabulaire: la suffixation.

La formation des mots est une source féconde de l'enrichissement du vocabulaire français. Tout comme l'évolution sémantique la formation des mots nouveaux sert à la communication de nos idées et de nos sentiments. Elle est aussi largement utilisée dans des buts expressifs, comme moyen stylistique.

Les procédés de formation des mots pourraient être répartis en quelques types: procédés morphologiques, phonético-morphologiques et phonétiques. Les premiers sont les suffixation et préfixation, la composition ; les seconds — les télescopages, l'abréviation ; le dernier — l'onomatopée; encore le redoublement et la déformation des mots.

La dérivation suffixale est un procédé de formation bien vivant et productif dans le français contemporain.

C'est que ces suffixes, qui étaient jadis bien productifs, ont enrichi le vocabulaire d'un grand nombre de mots qui ont reçu un large emploi ; certains de ces mots font partie du fonds usuel du vocabulaire. Entre autres, on peut signaler les dérivés avec les suffixes peu productifs aujourd'hui, néanmoins fort répandus. Parmi ces suffixes nommons -eur (grandeur), -esse (tendresse), -ise (franchise), etc. Les parties du discours sont à un point différent sujettes à la suffixation. Ce sont surtout les nominaux (substantifs, adjectifs, adverbes). Les verbes formés à l'aide de suffixes sont moins nombreux.

Les suffixes servant à former des substantifs abstraits.

Parmi les suffixes formant des substantifs désignant l'action les plus productifs sont -ation, -(e)ment, -age. -ationavec ses variantes -ition, -tion, -ion –culturalisation, périodisation, structuration. -ation, et -isation,

-(e)ment- : applaudissement <applaudir.

Le suffixe –age -labourage < labourer. bavardage,chuchotage, chômage, esclavage ;

-erie(formé par la contraction de -ieret -ie),: agacerie, criaillerie;

-erie: chaudronnerie, chapellerie, ganterie, boulangerie, crémerie;

-ance (-ence): surveillance, obéissance, délivrance, vengeance;

-ée: tombée, montée, traversée, rentrée, arrivée, tournée ;

-ade: débandade, reculade, promenade, ruade.

Les suffixes servant à former des substantifs concrets.

Les suffixes des substantifs à sens concret constituent un autre groupe con­sidérable. Un de ces suffixes les plus productifs de notre époque est –istehumaniste, écologiste. -eur (-euse)et -ateur, -teur (-atrice, -trice) –travailleur, lutteur. -ier, -tier (-ière, -tière): conférencier, vacancier, grutier,; -logue: radiologue, cosmétologue, océanologue. -ateur (-teur, -eur)et –euse : excavateur, épurateur, aspirateur, interrupteur, répondeur (téléphonique), baladeuse. -onet -tron: neutron, positon, le second, des appareils, cyclotron.–thèque :discothèque, ludothèque, médiathèque, vidéothèque.